Ce nouveau voyage au Botswna est né de l’envie d’approfondir des secteurs que nous avions découverts trop rapidement. Bien évidemment notre soif de percer les secrets de tous ces endroits magiques ne sera jamais étanchée. Et c’est ça la magie de l’Afrique : chaque retour est un nouveau voyage à part entière. Et on ne se lasse jamais d’y revenir….
Avant de partir
Dans la valise : si comme nous vous partez en novembre, c’est à dire avant la début de la saison des pluies, prévoyez shorts et tongs pour la journée : il fait très chaud !
Je sais que certains affectionnent les tenues d’explorateurs, mais sur place tout le monde est à la cool car dans tous les cas vous n’êtes pas sensés sortir de votre véhicule.
Pour vos soirées, pantalon et haut à manches longues, tissu léger, pour vous protéger des divers insectes volants.
Une veste de pluie en cas d’orage, car c’est de la pluie qui mouille vraiment beaucoup !
Un permis de conduire international ou une traduction assermentée de votre permis national.
Un bon matériel photos : iriez-vous au sommet de l’Everest sans équipement ? Et bien là c’est pareil. Rangez tablette, smartphone et vieux caméscope !!! Equipez-vous de bonnes jumelles, d’un grand angle et d’un objectif télescopique.
Voir l’article sur le matériel photos.
Révisez votre anglais ! Personne ne parle français, espagnol, italien…
Sur place
Essence : prenez de l’essence chaque fois que l’occasion se présente. Comptez en 2023/2024 environ 17,10 PWB/litre.
Sécurité : consignes d’usage, comme éviter toute tentation, le Botswana est un pays très paisible.
Dans les parcs : dans les parcs et réserves, roulez de jour et doucement, ne sortez pas de votre véhicule, sauf aux endroits prévus pour.
Achetez le plan du parc à la porte d’entrée, il est indispensable pour optimiser votre parcours (20 USD).
Camping : au Botswana, vous n’êtes pas du tout protégés de la faune. À vous de ne pas laisser de nourriture qui pourrait attirer les convoitises.
La nuit, quand tout est calme, lions, hyènes, éléphants, hippopotames ou herbivores peuvent se rapprocher, surtout par curiosité. Ils ne sont pas assez courageux pour vous rendre une visite s’ils vous voient actifs.
Au petit matin, prenez le temps d’observer les traces de pattes !
Sur la route : les routes principales sont rectilignes et ennuyeuses. Ne sous-estimez pas les longs trajets, faites des pauses régulières. Les feux diurnes sont obligatoires quelle que soit la route.
Les pistes peuvent être difficiles, le choix de votre 4×4 fera la différence.
Alcool : anticipez vos achats car la vente d’alcool n’est pas autorisée le dimanche.
Nourriture : il y a des supermarchés dans les grandes villes, et vous trouvez de tout.
Fruits, légumes, yaourts, viandes, fromages, jus de fruits, sodas, pain… Le poisson est au rayon surgelé et peu de choix.
ATTENTION : il y a des barrières vétérinaires. Renseignez-vous bien avant de remplir votre réfrigérateur, au risque de vous faire tout confisquer. Les denrées crues : viande et oeufs ne sont pas autorisées, notamment à entrer dans les parcs. Les denrées cuites, oui : jambon, thon en boite, et oeufs cuits, par exemple.
Repas : l’usage est de cuisiner le soir et préparer un sandwich ou salade en tupper-ware pour le déjeuner.
Budget
Pour ce voyage : 4500€ par personne, aérien (hors surclassement en Business pour le retour), entrées aux parcs, location du 4×4, essence, repas compris.
Location 4×4 : 2 790€
Esence : 508€
Repas : 315€
Sur la route des TOSTE : 20 jours au Botswana de Chobe au CKGR
Jour 1 – Départ de Paris
Vol AF 990 AIR FRANCE Paris Johannesburg à 21h15
Jour 2– Johannesburg, Afrique du Sud
Arrivée dans la matinée. Journée de repos et nuit au Fin and Feather Guest Lodge.
Jour 3 – Johannesburg, Afrique du Sud – Kasane, Botswana
Vol 4Z306 AIR LINK Johannesburg Kasane à 11h50. À noter qu’il est possible de récupérer ce vol dès le jour 2, si le vol depuis la France est à l’heure. Ce n’est pas une correspondance, il faut donc récupérer vos bagages et les ré-enregistrer. Le jour de notre arrivée, les touristes arrivés de Paris qui devaient prendre ce vol ont manqué leur avion. Nous avons préféré passer une journée de repos à Joburg pour démarrer en pleine forme le lendemain.
Récupération du 4×4 à Kasane, Botswana. Nous avons loué un Land Cruiser Crucam chez Bushlore. Je pense qu’il sera désormais impossible de louer un autre modèle…
Courses : ravitaillement pour 8 jours.
Route vers Chobe, entrée dans le parc par la Sedudu Gate. Attention, la route est longue. Une prochaine fois. nous ferons plutôt cette première nuit en dehors du parc, en bord de rivière.
Nuit à Ihaha campsite, parc national de Chobe.
Le parc national, créé en 1968, bénéficie au Nord de l’alimentation permanente en eau de la rivière Chobe, ce qui lui permet d’abriter de grandes concentrations animales. Les berges ont été en partie ravagées par les grands groupes d’éléphants qui viennent volontiers s’y baigner.
La journée, le fleuve accueille de nombreux hippopotames et des crocodiles, tandis que la forêt environnante abrite girafes, zèbres, lions, léopards…
La majorité de la zone est composée de savane arbustive (buissons de mopanes, acacias et pommiers du Kalahari), mais également des zones de forêts au bord des rivières, et de grands marais couverts de roseaux.
Jours 4 à 6 : Chobe, section Savuti
Nous partons directement pour la section de Savuti, après avoir croisé notre premier animal, et non des moindre : une jeune femelle leopard !
Nous avons déjà visité River Front, mais si c’est votre 1er séjour à Chobe, il est impératif d’y consacrer au moins 2 nuits. L’eau est abondante, c’est magnifique.
Savuti se trouve dans la partie sud-ouest du parc. Sur une surface d’environ 5 000 km² entre Moremi et le Nord du parc de Chobe. Savuti est une zone particulièrement aride où la pluie ne tombe que très rarement. Les paysages sont différents, son sol est sableux et de grandes savanes recouvrent une bonne partie de la région. Des acacias parasols géants offrent leur ombre pendant les heures chaudes aux nombreuses girafes de la région. Plus loin, le bush reprend ses droits et quelques anciennes collines rocheuses offrent un habitat important pour les léopards. Là encore grâce à quelques points d’eau artificiels toute la grande faune Africaine. Savuti est également un lieu de passage des zèbres pendant la migration. La saison des pluies et ses températures élevées, de novembre à avril, marque l’arrivée d’une multitude d’oiseaux, c’est la période de naissance des antilopes et également celle de la migration des zébres. Chaleur et pluie sont au rendez vous mais le spectacle est impressionnant. (Source : https://www.sous-lacacia.com/fr/dest/14/chobe-savuti)
Nuit à Savuti campsite. Le camping y est rustique, les emplacements sont spacieux mais proches les uns des autres, et c’est bruyant, car il y a un village juste à côté.
Eau disponible à chaque emplacement.
Les sanitaires sont corrects, sans plus. Comme la fois précédente, lors de notre séjour, suite à un orage, il n’y avait plus d’eau. Nous avons pris notre douche dans notre 4×4. Il est préférable d’être autonomes.
Jours 7 et 8 : Moremi, Xakanaxa
Route vers le parc national de Moremi, par la Khwai North Gate, dans le Delta de l’Okavongo, dans le prolongement du parc de Savuti.
Après une nuit d’orage et de pluie, le trajet a été très mouvementé. Des ornières pleines d’eau se sont creusées en à peine quelques heures.
Sans aucun doute, Moremi se place parmi les plus belles réserves d’Afrique, peut-être même aussi du monde. La réserve de Moremi est située dans les zones Centre et Est du Delta de l’Okavango, englobant la langue de Moremi et Chief’s Island, et peut se vanter d’être l’un des écosystèmes les plus riches et les plus diversifiés du continent. La réserve n’est pas grillagée et ses frontières sont délimitées par les voies d’eau naturelles, l’Okavango permettant aux animaux de se déplacer selon les saisons, depuis les parties boisées où l’eau est abondante à la saison des pluies jusqu’aux eaux permanentes du Delta à la saison sèche.
La végétation est variée, alternant des terres sèches, plaines inondables et marécages saisonniers ou permanents, participant à la diversité des espèces animales et des oiseaux. Les balades en bateaux (hydroglisseur) sont possibles sur les bras des chenaux alimentés par les eaux permanentes du Delta Xakanaxa et Mboma.
L’observation des animaux et des oiseaux y est impressionnante, on y trouve toutes les principales espèces herbivores et carnivores de la région dans leur habitat naturel (notamment des buffles, des girafes, des éléphants, des lions, des léopards, des guépards, des hyènes, des lycaons, des chacals) et plus de 400 espèces d’oiseaux, migrateurs et menacés pour la plupart. Le rhinocéros noir et le rhinocéros blanc y ont été réintroduits récemment, faisant de la réserve une destination « big Five ». On peut y voir en grand nombre les Cobe Lechwe, l’une des antilopes les plus étonnantes.
Les premiers habitants de la région (Les Bushmen de la Rivière) ont été déplacés à la périphérie de la Réserve, établissant le village de Khwai près de l’entrée Nord du Parc. La zone de Khwai est gérée par la Communauté locale à travers le Khwai Development Trust.
Vous pouvez donc trouver au village de Khwai des courses de dépannage, des boissons (eau, bières et sodas), le tout vendu à prix d’or. Et selon approvisionnement de l’essence. Donc mieux vaut avoir pris ses dispositions.
Certains voyageurs décrivent cette zone comme l’un des plus belles de la région. Nous avons passé notre chemin pour cette fois, mais avons bien pris note d’y consacrer 2 nuits lors d’un prochaine voyage.
Nous avons parcouru la zone de dead tree island et mboma island.
Il est très facile de se perdre, il y a de l’eau partout.
Conseils : achetez la carte du parc, téléchargez en local sur votre téléphone les pistes avec maps.me, louez un téléphone satellite.
Si vous n’êtes pas sûr de pouvoir traverser une rivière, jauger la profondeur avant de vous engager.
Soyez prudents à ce qui peut être un danger pour vous aux alentours, et DANS l’eau. Si elle n’est pas claire, ne prenez pas de risque et changez de route.
Si, comme les sud africains croisés, votre 4×4 est dans l’eau… et bien attendez la rencontre fortuite de gentils touristes.
N’essayez pas de remettre le moteur en route.
Les 4×4 touristiques ne vous viendront pas en aide : ils promènent des clients qui ont payé cher leur safari, aucune perte de temps n’est permise ! Au mieux ils peuvent alerter quelqu’un.
Nuit à Xakanaxa, parc national de Moremi.
Le camping est très agréable, avec des sanitaires confortables, même si une fois encore nous n’avons pas résisté à une douche en plein air et à domicile !
Jours 9 et 10 : Moremi, Third Bridge
Route vers la section Third Bridge de Moremi.
Renseignez-vous bien sur les parties praticables, car toutes ne sont pas ouvertes. En effet, du fait de l’abondance de l’eau, les pistes ne sont mêmes plus tracées. Evidemment on s’y est aventuré, sans le savoir ; avec un bon pilote et un bon 4X4, nous sommes revenus entiers ! les animaux étaient surpris, on a bien senti que les touristes étaient rarissimes. Alors nous avons découvert un Moremi sauvage et authentique. Inoubliable.
Nuit à Third Bridge campsite. Le camping est agréable, mais moins de Xakanaxa. Et envahi de singes voleurs… Quelques courses de dépannage à la porte, et accès au Wifi.
Jour 11 : Maun
Route vers Maun, sortie de Moremi par la South Gate
Courses : ravitaillement pour 7 jours.
Maun est la capitale touristique du pays. Plaque tournante des grandes réserves naturelles du Nord, elle est stratégiquement située le long de la rivière Thamalakane, au carrefour du magnifique Delta de l’Okavango et des pans salés. Pour la plupart des voyageurs internationaux, cette ville ne sera qu’un lieu de transit entre deux avions de brousse, auquel on ne dédiera que quelques heures. Pourtant Maun est d’une importance capitale pour tout le tourisme botswanais, les coulisses dans lesquelles toutes les ficelles sont tirées, la majorité des agences et des tour-opérateurs étant d’ailleurs basés ici. Avec ses 70 000 habitants éparpillés dans un dédale de longues rues étalées, Maun ne présente toujours pas l’âme d’une ville dynamique et divertissante, du moins au premier abord. Il faut bien la connaître, s’en imprégner avant de comprendre comment s’y plaire. Elle possède aujourd’hui un mélange unique de Botswanais locaux et d’expatriés qui se retrouvent tous à travailler dans l’industrie du tourisme. Certains des expatriés sont installés depuis des lustres et pourront vous raconter comment la ville n’était autrefois qu’un bourg sans route goudronnée. Aujourd’hui, elle est une ville partagée entre deux époques et deux cultures, un contraste que l’on peut saisir dans l’image des petits tuck shops en tôle côtoyant les sièges d’entreprises occidentales, en ciment gris. Maun possède quelques cafés très tranquilles et bon marché, où il est agréable de flâner un après-midi.
Nuit à Audi camp. Le camping s’est beaucoup agrandi depuis notre dernier passage. Mais pas la piscine. Nous y étions un dimanche, et le sport national des expatriés (ici des Australiens) semble être de squatter les piscines des hôtels. On s’en serait bien passé… Les emplacement sont serrés, mais propres. Eau et électricité. Surveillé jour et nuit. Bruyant car nous sommes en pleine ville. Wifi au restaurant. Très bonne table.
Pour un prochain voyage, nous chercherons plus au calme.
Jours 12 à 17 : CKGR
Route vers le CKGR (Central Kalahari Game Reserve).
Entrée par Matswere Gate, route de Rakops.
Fondée en 1961, le Central Kalahari Game Reserve fut la première réserve naturelle au Botswana et avec ses 52000Km², elle est la plus grande réserve naturelle d’Afrique. Les vallées fossilifères, les pans ainsi que des dunes de sable végétalisées y entretiennent une biodiversité unique.
La réserve du Kalahari central présente un écosystème spécifique en comparaison à d’autres sanctuaires écologiques tels que le parc national de Chobe et la réserve de Moremi. Il est habité par des d’espèces animales qui se sont adaptées à des conditions arides, survivant ainsi sans eau de surface pendant de nombreux mois. Les espèces animales et végétales présentes ont aussi dû s’adapter à des deltas de températures extrêmes, inférieures à zéro (-5 ° C) en hiver et supérieures à 40 ° C pendant les mois les plus chauds de l’été. Terre des tribus San, les groupes autochtones qui vivaient de la chasse et de la cueillette traditionnelle ont su préserver son équilibre écologique pendant des milliers d’années. Très peu de bouleversements écologiques y ont eu lieu, et c’est un exemple rare d’une nature restée préservée.
Royaume du lion à crinière noire du Kalahari qui représente une sous-espèce à part entière, la réserve abrite plusieurs espèces d’oiseaux de proie et d’antilopes adaptées aux conditions désertiques, dont le majestueux Oryx, ainsi que l’otocyon qui est l’emblème du département de protection de la faune sauvage au Botswana.
Nuits en campsites à Leopard Pan, Passarge Valley, Piper Pan, Deception Pan.
Pas d’eau, pas d’électricité, il faut être 100% autonome. En dehors de Deception et Khori, les emplacements sont très espacés les uns des autres, plusieurs dizaines de kilomètres.
Certains voyageurs peu scrupuleux n’hésitent pas à réserver un emplacement 1er prix et tenter leur chance en se présentant à un emplacement plus sympa. S’il n’est pas réservé, jackpot ! Si non, ne vous laissez pas faire: la vie sauvage ne se partage pas. D’autres font du camping sauvage, ils dorment (et roulent) à travers les pans. N’hésitez pas à relever les plaques et les dénoncer aux portes. Le risque de ces comportement est hélas que la région devienne aussi contrainte que Kenya et Tanzanie pour visiter les parcs, et ce par la faute de quelques imbéciles qui pensent avoir tout compris et être plus malins que les autres. Attention, certains vantent même leur blog (couple du Sud de la France sans les citer, et qui ont été dénoncés et photographiés en novembre 2023).
Jour 18 : Orapa game park
Sortie du parc par Ratswere Gate.
Courses : ravitaillement pour 3 jours.
Nuit au Orapa Makumutu campsite.
Hébergement type hôtel très agréable, avec quelques emplacements tout confort : cuisine, douche et wc privatifs. Piscine. Bar, restaurant. Bonne table. Wifi.
On sent la richesse des mines de diamants car tout est verdoyant au milieu du désert…
Jour 19 : Orapa game park – Khama rhino Sanctuary
Développé à partir d’une zone centrale de conservation sur une zone de pâturage dégradée en 1985, Orapa Game Park, situé dans la plus grande ville minière du pays, s’avère être le diamant sauvage du Debswana.
D’une superficie impressionnante de 48 964 hectares par rapport aux 3 000 hectares initiaux en 1992, le parc s’enorgueillit d’une faune impressionnante comprenant des zèbres, des élans, des gnous, des springboks, des girafes, des waterbucks, des rhinocéros ainsi que diverses espèces d’oiseaux.
Il dispose d’un périmètre de 50 km de clôture et d’un agent de conservation à plein temps, employé depuis 2000.
Le parc est un élément clé de l’initiative « Orapa Today Boteti Tomorrow (OTBT) », un programme destiné à créer une économie alternative durable pour le sous-district de Boteti, afin de laisser un héritage durable au-delà de l’exploitation des mines de diamants.
Notre avis : nous avons vu des rhinocéros comme jamais, pourtant nous en avons vu pleins en Namibie.
Les animaux suivent les 4×4, et pour cause : ils sont nourris 365 jours du 365. Le parc est trop aride et cette nourriture est vitale. Les animaux sont donc très oisifs, car ils ne broutent pas et semblent s’ennuyer, et en cette fin de saison sèche, ils sont vraiment maigres.
Nous sommes très mitigés.
Continuation de la route retour en milieu de matinée.
Le sanctuaire du rhinocéros de Khama (KRS) est un projet communautaire de protection de la faune et de la flore, créé en 1992 pour aider à sauver les rhinocéros en voie de disparition, restaurer une zone qui regorgeait autrefois de faune et de flore à son état naturel antérieur et apporter des avantages économiques à la communauté locale du Botswana par le biais du tourisme et de l’utilisation durable des ressources naturelles.
Couvrant environ 8 585 hectares de Kalahari Sandveld, le sanctuaire constitue un habitat de choix pour les rhinocéros blancs et noirs, ainsi que pour plus de 30 autres espèces animales et plus de 230 espèces d’oiseaux.
Notre avis : nous avons observé plus facilement les rhinocéros en Namibie (Etosha) ou à Orapa park.
C’était notre 2ème visite dans ce sanctuaire, mais honnêtement, comme la 1ère fois, il ne nous a pas laissé un souvenir impérissable.
Nuit au Khama rhino Sanctuary. Sanitaires agréables, même si nous avons encore une fois opté pour notre douche maison. Piscine agréable et wifi.
Jour 20 : Khama rhino Sanctuary – Marakele National park
Départ tôt le matin direction l’Afrique du Sud par le poste de frontière de Martin’s Drift. Le pont ne se traversant qu’un sens à la fois, c’est long et fastidieux.
Antoine a pris les choses en mains, et nous avons pu passer devant tous les camions ! 45 minutes pour passer en Afrique du Sud !
Le parc national de Marakele, situé au cœur des montagnes du Waterberg, est devenu, comme son nom tswana l’indique, un « sanctuaire » pour une variété impressionnante d’animaux sauvages, en raison de sa situation dans la zone de transition entre les régions sèches de l’Ouest et les régions plus humides de l’Est de l’Afrique du Sud.
Clairement le paysage est différent, la météo aussi. Mais pour une dernière immersion en vie sauvage, les rhinocéros nous ont réservés un bouquet final très actif !
Nuit au Bontle campsite (Marakele National park). Emplacements agréables, sanitaires aussi. Piscine. Quelques singes. Pas de wifi.
Jour 21 : Johannesbourg – Paris
Route vers Johannesburg en fin de matinée. Restitution du 4×4 dans l’après-midi.
Vol AF 995 pour Paris à 19h25.
La Père Noël était passé en avance 🙂 Retour en business ! Des salons avec salle de bains et buffet gastronomique au confort de la cabine, cela aura été le vol de nuit le plus court de notre vie !